Publié dans un format normal cartonné en noir et blanc par les éditions Futuropolis en août 2013, Amorostasia est une bande dessinée franco belge qui est entre les mains de Cyril Bonin. On lui doit, entre autres, L'homme qui n'existait pas et La Belle image.
Côté dessins, l'artiste nous livre un Paris de toute beauté, la capitale française servant de décor à son synopsis.
Bonin a travaillé ses personnages côté expressions et caractères. Il a ciselé les réflexions, les dialogues et les échanges entre les protagonistes.
Son récit est passionnant, d'ailleurs, si vous êtes comme moi, vous devriez le dévorer d'une traite.
L'histoire :
Un peu partout dans Paris s'installe une maladie totalement nouvelle, une maladie qui n'a aucune origine, aucune provenance !
Face à ce qui va se révéler être une épidémie, les pouvoirs publics vont s'organiser. Les médias auront droit à une conférence de l'équipe sanitaire, celle qui a pris en charge les personnes touchées mais, la presse n'aura pas grand chose à se mettre sous la dent. Pour cause, les médecins piétinent...
Quels sont les symptômes de la maladie ?
Des personnes seules ou des couples se transforment en statues vivantes quand l'amour avec un grand A les submergent !
La journaliste Olga Politof et son photographe, le dénommé Lambert, vont mener leur enquête...
Les phrases qui m'ont plu :
"Si vous dites qu'une bouteille est pleine, vous oubliez de dire qu'elle est à moitié vide et de ce fait, vous prenez position et ne dites pas toute la vérité." - à propos du journalisme.
"Il faudra quand même qu'on m'explique un jour pourquoi ce sont toujours les femmes qui sont pointées du doigt et qui doivent vivre cachées pour éviter aux hommes de succomber à leurs faiblesses."
Bonus : Une préface de Bernard Sablonnière.
Côté dessins, l'artiste nous livre un Paris de toute beauté, la capitale française servant de décor à son synopsis.
Bonin a travaillé ses personnages côté expressions et caractères. Il a ciselé les réflexions, les dialogues et les échanges entre les protagonistes.
Son récit est passionnant, d'ailleurs, si vous êtes comme moi, vous devriez le dévorer d'une traite.
L'histoire :
Un peu partout dans Paris s'installe une maladie totalement nouvelle, une maladie qui n'a aucune origine, aucune provenance !
Face à ce qui va se révéler être une épidémie, les pouvoirs publics vont s'organiser. Les médias auront droit à une conférence de l'équipe sanitaire, celle qui a pris en charge les personnes touchées mais, la presse n'aura pas grand chose à se mettre sous la dent. Pour cause, les médecins piétinent...
Quels sont les symptômes de la maladie ?
Des personnes seules ou des couples se transforment en statues vivantes quand l'amour avec un grand A les submergent !
La journaliste Olga Politof et son photographe, le dénommé Lambert, vont mener leur enquête...
Les phrases qui m'ont plu :
"Si vous dites qu'une bouteille est pleine, vous oubliez de dire qu'elle est à moitié vide et de ce fait, vous prenez position et ne dites pas toute la vérité." - à propos du journalisme.
"Il faudra quand même qu'on m'explique un jour pourquoi ce sont toujours les femmes qui sont pointées du doigt et qui doivent vivre cachées pour éviter aux hommes de succomber à leurs faiblesses."
Bonus : Une préface de Bernard Sablonnière.
Bonin se plaît à nous offrir l'amour sous toutes ses coutures. Ce à quoi vous pensiez, ce que vous avez omis ou encore le pourquoi du comment. Bref, l'auteur vous met face à la réalité ! Celle-ci pourrait être plaisante à certains et faire mal à d'autres, mais toujours est-il que cette BD ne devrait pas laisser indifférent. Elle touchera logiquement la plus grande partie d'entre vous car son thème est universel.
Ce dernier est d'ailleurs abordé avec justesse et inclus de nombreux cas de figures.
Pour ma part, je conseille sans réserve !
Je vous glisse quelques planches :
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