Publié en mai 2014 par les éditions Futuropolis dans un grand format cartonné en noir et blanc, cet album franco-belge de 91 pages est entièrement réalisé par Louis Theillier.
L'auteur est un de 300 employés de l'entreprise anglaise Johnson Matthey, basée en Belgique à Bruxelles.
L'entreprise a réalisé des bénéfices record et cela malgré les diverses crises que subit l'Europe depuis maintenant de nombreuses années.
Le personnel apprend que l'usine va fermer et cela malgré les aides pour empêcher une délocalisation. Le travail sera bientôt réalisé en Macédoine.
Aucun investissement n'a jamais été réalisé sur leur site. A présent, ils savent pourquoi.
Louis Theillier va raconter leur combat sur un blog créé pour l'occasion. Ce duel face au patronat deviendra un symbole.
L'auteur est un de 300 employés de l'entreprise anglaise Johnson Matthey, basée en Belgique à Bruxelles.
L'entreprise a réalisé des bénéfices record et cela malgré les diverses crises que subit l'Europe depuis maintenant de nombreuses années.
Le personnel apprend que l'usine va fermer et cela malgré les aides pour empêcher une délocalisation. Le travail sera bientôt réalisé en Macédoine.
Aucun investissement n'a jamais été réalisé sur leur site. A présent, ils savent pourquoi.
Louis Theillier va raconter leur combat sur un blog créé pour l'occasion. Ce duel face au patronat deviendra un symbole.
L'ouvrage est parsemé de dialogues, de réflexions et de sentiments.
De nombreuses phrases pourraient bien vous plaire. Pour ma part, de nombreux intervenants font mouche. Il y a de bons jeux
de mots et des pensées profondes. C'est un pur régal !
On retiendra surtout que le capitalisme sauvage peut faire de sacrés ravages. 300 personnes au chômage, c'est autant de familles touchées.
Là, il ne s'agissait pas de permettre à une entreprise de survivre car elle était en difficulté mais bien de délocaliser où la main-d'oeuvre est moins chère. Johnson m'a tuer, vous avez saisit le jeu de mot je pense, est une histoire vraie, une histoire dramatique peuplée d'attentes, de luttes et de regrets.
On retiendra surtout que le capitalisme sauvage peut faire de sacrés ravages. 300 personnes au chômage, c'est autant de familles touchées.
Là, il ne s'agissait pas de permettre à une entreprise de survivre car elle était en difficulté mais bien de délocaliser où la main-d'oeuvre est moins chère. Johnson m'a tuer, vous avez saisit le jeu de mot je pense, est une histoire vraie, une histoire dramatique peuplée d'attentes, de luttes et de regrets.
A METTRE ENTRE TOUTES LES MAINS ! INDISPENSABLE !
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Quelques photos :
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