Publié dans un grand format en couleurs par Panini, cette bd était également sortie chez Rackham. Au scénario, vous avez Frank Miller dont un grand nombre de chroniques sont disponibles sur ce blog. Vous y avez aussi le crossover Illuminati. Pour l'accompagner, nous avons un autre talentueux artiste, j'ai nommé Simon Bisley.Histoire :
Il ne sait pas s'il s'appelle vraiment Jason mais il vit toujours la même chose : Il se réveille à l'hôpital. Ses parents sont là. Est-ce vraiment eux ? Là, débute son envie d'évasion...
Traduction : Alex Nikolavitch
Bonus : Quelques croquis + les couvertures V.O.
Les phrases qui m'ont plues :
-Un homme doit pas avoir honte de pleurer.
- C'est marrant le nombre de trucs qu'on ne peut pas faire dans ces mondes libres.
Bad Boy, version Panini, c'est une édition soignée dans laquelle on retrouve deux légendes du monde des comic books, mais, c'est aussi, une fois que l'on a enlevé les bonus, une bande dessinée à la pagination peu dense. Je n'ai pas la nostalgie des Strange ou des Nova, j'aime les belles BD et celle-ci en est une, mais il faut bien avouer qu'elle aurait coûté forcément moins de 10 euros en kiosque.
Le récit s'attaque à l'idée d'une société qui mettrait tout le monde dans le même moule et, du coup, Miller donne sa version de la liberté.
Plaisant !
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